BC + j'aime sentir sa langue car il est frais comme un bonbon à la menthe

J’aurai aimé vous dire que les Crane sont une famille comme une autre. Que les enfants ont eut une vie heureuse et remplie d’amour malheureusement la pauvre Brandi vous en sois témoin, a subit les frais d’une enfance pleine de désillusions et de rêves inachevés ! Brandi c’est la petite dernière de la famille celle qu’on aurait préféré avaler plutôt que de devoir nourrir. Petite elle ressemblait à une petite poupée, et sa mère quand on l’a complimentais sur la beauté de sa petite ne trouvait rien d’autre à dire que « si seulement ça pouvait nous faire gagner du fric ! » L’amour et la gentillesse ainsi que la bienveillance ne sont pas vraiment des valeurs prisées par les Crane. Heureusement la jeune Brandi pouvait compter sur Bobby un de ses frères aîné don elle a toujours été proche. Bobby c’est le mec poisseux qui vis la nuit à cause de sa maladie, mais tête brûlé qu’il est il allait souvent dehors et c’est Brandi qui durant de longues heures prenant le temps de lui passer la crème, faire des bandage, les changer. Elle a toujours pris soin de lui, sûrement parce qu’il l’a toujours traité comme une princesse.

Brandi c’est la nana plus proche de son clébard que de l’être humain, même si elle a toujours gardé le sourire et aider les gens, rendre service etc. Elle n’a pas grand-chose en retour voir rien du tout et pourtant… elle se dis que si elle donne du bonheur aux gens cela suffit et ça la rendra heureuse. La bienveillance…. Tel cendrillon elle espère peut-être qu’un jour son prince charmant viendra la sauvé de sa misère ! Lire… elle aime lire, de cette façon son esprit vagabonde, car Brandi à une imagination incroyable… elle a le don de se projeter dans un autre monde.

Depuis peu, elle se surprend à voir une sorte brûlure le long de la colone, comme une grande cicatrice, formant un petit ruisseaux d’eau. C’est une marque apparut du jour au lendemain, après une nuit agitée où son père avait encore trop bue avec sa mère et qu’ils s’étaient embrouillés pour finir par baiser dans toute les puisses de la maison comme-ci elle n’existait pas, comme-ci ils étaient seuls. Alors elle avait commencé à lire, elle a fermé les yeux et en les ouvrant elle était plus là, elle était ailleurs, elle avait imaginé un lieux et avait réussie à le projeter de façon maladroite. Elle n’a pas vraiment compris ce qu’il se passait, mais elle arrivait à percevoir des odeurs. C’est arrivé deux fois et elle n’a jamais vraiment compris comment, juste elle était en état de stress et de panique.

Sinon elle a vite abandonné ses rêves, l’école aussi, mise à part qu’elle a toujours été une sorte de bête de foire que l’on approchait pas vraiment de peur d’être maudit ! Oui car les Crane sont mal vue, c’est un peu la peste de la ville, le sida d’une nuit trop arrosée ! Maintenant qu’elle a quitté l’école, bien trop tôt à son goût elle travail en tant que serveuse dans un espèce de Pub, fréquenter par les jeunes ! Petit poussin au allure malade, elle ne prend pas soin d’elle, elle a l’air triste dérrière son sourire forcé… Elle ne se confit jamais sur ses états d’âme ça n’intéresserait personne. Quant à l’amour, personne ne s’intéresse à elle et ses vêtement récupérer de ses frères. Elle ne porte jamais de vêtements moulant trop voyant, cela serait mauvais comme ce soir-là, alors qu’elle n’avait que 16 ans et qu’elle devait rentrer tard elle était tombée sur une meute car ceux sont des prédateurs les hommes, elle n’a répondue à leur moquerie. « Vas-y Viktor t’as pas les couilles de la touché ! » «dit un des garçons ! « Non j’ai pas envie d’avoir la poisse toute ma vie ! » « vas-y j’y vais ! Couille molle ! » Ainsi il est arrivé derrière et la jeter sur le sol comme un vulgaire mouchoir, mouchoir que l’on a piétiner salie et don on a pris la pureté pour un simple parie. Une fois fini elle est resté en boule sur le sol dans la terre pendant des heures à ne pas pouvoir parler. Une fois qu’elle eut le courage de se lever, elle est rentrée, le visage dessécher par le sel de ses larmes, les ongles noircit par la Terre qu’elle a agripper en espérant trouver désespérément une accroche. Mais rien, depuis ce soir-là, elle ne parle presque plus, du moins elle ne parle que lorsque l’on lui pose une question. Elle n’a jamais parler de ça à personne… Car au fond ses états d’âme n’intéresserait personne…