| Sujet: vagabond (os) Mar 26 Fév - 0:23 | |
| os alexanderat your disposal☾☾☾
— IDENTITÉ ☽ Os en toute simplicité. Alexander, introuvable dans les registres national, sans doute venant d’ailleurs, il murmure sans honte que ce n’est qu’emprunter dans un instant de malice. Factice, il n’est que l’inconnu, au coin de la rue, d’ailleurs, souvent bien habillé. — ÂGE ☽ La trentaine dépassé, il prétend souffler sa trente troisième bougie prochainement, dès que les premiers bourgeons écloront — DATE ET LIEU DE NAISSANCE ☽ La douce Amérique, paraît-il, un peu plus au nord. A l’aube du printemps des années soixante, belle époque, n’est-ce-pas ? — NATIONALITÉ ☽ Américain, quelques griffonnages le prouvant doivent encore traîner dans une poche. — ÉTAT CIVIL ☽ L’anneau absent, mais le cœur libre prisonnier d’une terrible amante. Célibataire, amoureux de l’amour. — OCCUPATION ☽ La main parfois tremblante, d’autre fois un marteau dansant entre les doigts ou dans les draps de votre voisine. Vagabond à travers les rues de Silver Grove, visage commun, presque familier, il accepte tout travail à la condition de quelques billets vert à la clé. — GROUPE ☽ denier. — MOODBOARD ☽ flemme — AVATAR ☽ aaron tveit. — CRÉDIT ☽ loudsilence |
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☽ vanités
i. please introduce yourself. Gamin des rues, éternel vagabond. Orphelin, sans attache, il vogue de famille d’accueil en famille d’accueil, bercer au fil des colère. Enfant fragile, bambin furieux, la rage dans le cœur, désir brûlant de vivre, des horizons nouveaux qui s’amassent dans la tête. Misérable, il n’a jamais aspiré à plus que ce qui glisse de ses doigts dans le fond de ses poches, l’ambition devenue une vulgaire rivale. Simplicité de vivre, tout juste adulte, il rassemble quelques affaires dans un sac miteux, quelques billets vert dérobé à l’épicerie du quartier et il prends son envol. L’indépendance, la débrouillardise au creux des mains, les mots glissent avec douceurs, les mensonges s’accumulent, les uns après les autres. Un soir, il vend du rêve à la première demoiselle venu, le second, sa main glisse délicatement dans son sac, dérobant quelques billets, laissant le reste. Culpabilité balayée par la nécessité, il se refuse à l’avidité, se contentant d’une cinquantaine de dollar alors qu’il pourrait doubler la mise, il n’est pas cruel au fond. Puis d’autre jours, il bricole pour quelques patrons sans scrupule avant de retourner mendier dans les rues, toujours ce même sourire aux lèvres, bienveillant. La vie, au final, est bien plus précieuse que toute les richesses du monde.
ii. mean streets of silver grove. Presque une dizaine d’années maintenant. Visage bien connu de la rue, toujours bien habillé malgré sa situation toute particulière, parfois on peut même l’apercevoir au « dinner » du coin, dans les fins fonds de la cuisine à faire la plonge. Ou sur un quelconque chantier, on murmure même qu’on l’aperçoit souvent rôder la nuit, le long de certains quartiers résidentiels pour satisfaire les désirs des plus avide. A la fois élément à part entière de cette petite communauté, il est aussi l’inconnu, le vagabond, ne vivant nulle part et partout à la fois, profitant de la bienveillance de certains, divertissant les autres. On le dit étrange, d’autres le disent heureux ainsi. Sans domicile fixe, vagabond, avec les années, il a apprit à la connaître cette petite ville de Silver Groves, tout aussi bien que ces habitants. Parfois oreilles indiscrètes, il fait parti de ces personnes qu’on connaît tous, d’une certaine manière.
iii. we're all mad here. Morphée, délicat ami depuis fort longtemps déjà, bien que celui-ci ai tendance à venir le tourmenté maladroitement aux moments les plus inopportun. Malicieux compagnon qui vient troubler chacune de ses journées, qui le hante à chaque instant. Un bâillement et l’esprit s’en vas vagabonder au côté du marchand de sable, laissant derrière lui une pauvre carcasse somnolant. Narcolepsie, c’est ainsi qu’est nommé le mal qui le hante, troublant a chaque instant son quotidien riche de nombreux débordement. Et alors, la mémoire défaille, devenant peu à peu un peu plus trouble, a chaque instant un peu plus confuse. Les noms, il les retient difficilement, la nuit, il erre souvent sans fin, incapable de trouver le sommeil qui le poursuit pourtant alors que l’astre du jour est haut, délicate ironie que de si peu goûter au sommeil nocturne. Devenu fréquemment homme de la nuit par dépit, tentant de redevenir un homme normal, non son difficulté, via quelques pilules difficilement accessible.
iv. something strange in the woods. A sa grande surprise, après un bref instant d’absence, sommeil soudain le frappant alors qu’il traversait la rue, il s’est réveillé allonger au sol, sans la moindre égratignure. Situation particulière, la carne devenu aussi solide que l’acier, bien étrange don qui dépasse sa compréhension. Depuis, devenu incapable de se blesser, malgré les chutes, les maladresses, il vit dans la confusion, l’incompréhension la plus totale. Incapable d’expliquer d’où ça vient, malgré qu’il ai toujours été assez casse-cou pour devenir assez costaud, aujourd’hui sa carcasse est dotée d’une résistance effroyable à toute forme de blessure, bien que la douleur ne disparaisse pas. Dans la folie de l’expérimentation, il se souvient encore se coup de marteau qui s’abat sur sa main, bien que le manche ce soit briser suite à l’impact.[/i]
☽ page blanche « … Franchement, j’ai pas à me plaindre. Car bon, je ne manque de rien. Tu sais, j’ai appris avec le temps que d’avoir un toit, c’est une forme de luxe, au final, c’est assez superflu. Surtout quand t’es comme moi, que tu connais les bons plans… Ou que tu sais faire un feu de camp et une petite cahute de bois l’hiver. - Attends… T’es sérieux là ? - Ah, ah ! Va savoir. En tout cas, ça fait quelques hivers que je n’ai pas eu à me plaindre, que ce soit de la température ou du confort. Tu n’imagines pas tout ce que les gens peuvent jeter parfois, alors que c’est encore en parfaite état. Bon, certes, dis comme de cette manière, ça fait marginal paumé dans une société de surconsommation et c’est peut être le cas, qui sait ? En toute franchise, je ne suis pas là pour juger, je ne suis pas trop un modèle de sainteté en soit, comme tous, j’ai mes vices. - Certes, mais on s’égare. Je veux dire par là, tu n’as jamais aspiré à plus ? Et bon, tu dois bien avoir une famille, quelque part, qui s’inquiète pour toi, non? - Ah ah… Bon, ça fait quoi ? Quatre, cinq ans qu’on se connaît, depuis que tu m’as proposé de venir t’aider dans ta librairie. Alors écoute, j’ai été abandonné dès ma naissance, on m’a laissé traîner dans cet hôpital, je ne sais plus où. Donc bon, de la famille, on peut dire que j’en ai jamais eux. Certes, j’ai connu des familles bien, brièvement mais bon voilà, ça n’a jamais coller, il y a toujours un moment où ça a dégénérer, faut dire, j’étais qu’un sale gosse à l’époque. Franchement, je suis né sans rien, j’ai toujours vécus sans repère, je vois pas ce qu’un gars comme moi pourrait demander, quel genre d’ambition je pourrais avoir. Les ambitions, c’est plus pour les types comme toi, les types normaux, pas les vagabonds, car ouai, je suis qu’un vagabond. Mais bon, je le vis bien, j’en suis même fier, mon ami… Heum, patron ! Tu nous en remets deux comme ça, sur sa note. - … T’es un vrai connard. - Voyons ! Ah ah, je sais et tu sais que tu peux rien me refuser. »
☽ cabinet de curiositésJe suis ouvert à toute proposition (éclatez vous, j'aime les liens bien tordu )
c. unknow
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— EN QUELQUES MOTS : hf, ou simplement Aurélien, 25ans, belge, insomniaque et amateur de bière [/i] — DISPONIBILITÉ : Variable[/i] — COMMENT J'AI CONNU LE FORUM : Bazzart — QUESTIONS & SUGGESTIONS : Nope, tout est perfect |
Dernière édition par Os Alexander le Mar 26 Fév - 22:38, édité 4 fois |
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